Leon Roufosse© 2009 • Privacy Policy • Terms of Use
La naissance du du micro-onde
Un jour d'hiver 1946, des ingénieurs américains de la société Raytheon travaillant sur l'amélioration de la qualité des radars, Percy Spencer qui dirigeait les opérations constata que la barre chocolatée qu'il avait dans sa poche avait fondu. Il effectua alors l'expérience avec un sac en papier contenant des grains de maïs qui se transformèrent aussitôt en pop-corn alors que l'appareil, lui, restait toujours froid !
C'est dans ce contexte que le principe du radar a été adapté à la cuisine des aliments et c'est pour ce motif que les micro-ondes de la 1er génération ont été tout naturellement baptisés "fours radar". Et ils ont envahi toutes nos maisons... sans qu'aucun véritable principe de précautions n'ait été mis en œuvre.
Envie d'en connaître d'avantage, rendez-vous sur le site le plus documenté sur la téléphonie mobile.
Personne trop sensible s'abstenir,
micro-ondes pas que effets thermiques
Dans les années soixante, on a découvert avec stupéfaction que plus de la moitié du personnel de l'ambassade américaine de Moscou était touché par de graves affections : des modifications du comportement, vertiges, irritabilités, dépressions, pertes de mémoire, douleurs dans la poitrine, variation du rythme cardiaque et de la pression sanguine, cancers et leucémies notamment et qu'au moins 3 ambassadeurs étaient morts prématurément.
On découvrit également que le taux de cancers au sein de cette ambassade était le plus élevé du monde ! Que se passait-il donc pour qu'un tel microclimat délétère s'installe sur l'ambassade et ses occupants.
Nous étions en pleine guerre froide, les Russes testaient les applications militaires de l'arme électromagnétique.
L'ambassade américaine avait été, dès 1962 et durant plusieurs années soumise de manière permanente à un intense bombardement d'ondes électromagnétiques à très hautes fréquences et son personnel avait permis aux Russes de tester en grandeur nature sur cobayes humains les effets de leur dernière découverte.
L. Liégeois