Fin 2010, l'armée américaine a découvert dans la zone de fret de l'aéroport de Bagdad plusieurs chiens décédés. Ces chiens étaient placés dans des cages de transport Veri Kennel destinées à l'embarquement.
En examinant les animaux morts, le personnel de l'aéroport a remarqué que les animaux venaient de subir une intervention chirurgicale très récente. Ils avaient eu l'abdomen ouvert et les fils de suture étaient toujours présents.
La surprise du vétérinaire qui a réalisé l'autopsie a été grande en découvrant que les chiens étaient bourré d'un très puissant explosif relié à un détonateur à déclencher avec un téléphone portable. Sans leur décès prématuré, ces animaux auraient été embarqués et auraient explosé en vol.
Heureusement, les explosifs avait causé par péritonite la mort des animaux avant l'embarquement, ce qui a permis d'éviter la catastrophe. Si le personnel n'avait pas constaté le décès de ces malheureux chiens et n'avait pas extrait les cages du lot d'animaux à embarquer, l'avion explosait en vol.
La CIA, a placé un embargo sur l'information, qui a été gardée secrète jusqu'ici. La OACI, organisation de l'avion civil internationale, qui émet des consignes de sécurité à l'intention des pays adhérents a rédigé une note d'alerte, très peu étayé, en demandant que les animaux voyageant en avion, fasse l'objet d'une attention toute particulière avant l'embarquement.
Il est effrayant de constater que les terroristes n'ont pas fini d'inventer de nouvelles méthodes pour déjouer les contrôles de sécurité.
Le 28 août 2009, un attentat avait marqué une nouvelle évolution dans les techniques utilisées par les fous de Dieu. Richard Reid et ses explosifs dissimulés dans un soulier, Abdul Klair s'était fait explosé à l'aide d'une bombe introduite dans son colon à la manière d'un suppositoire et l'activation déclenchée avec son GSM.
A suivre,
Jacques Lafouine,