Chaque année, ± 200 millions d'anesthésies sont pratiquées dans le monde avec un gaz anesthésiant.
Selon les calculs du chimiste américain Mads Peter Sulbrek Andersen, elles contribuent autant au réchauffement climatique que l'émission de ± 5 millions de tonnes de CO2 . Ces gaz auraient le même impact sur la planète qu'une centrale électrique allemande fonctionnant au charbon ou qu'un million de voitures de cylindrée de ± 2000 cm³.